JOURNÉE MONDIALE DES MALADIES RARES : UN TRAITEMENT NOVATEUR POUR LE SYNDROME D’ ARNOLD CHIARI MADE IN SPAIN
Un centre neurochirurgical de Barcelone offre un espoir aux patients provenant de tout le monde.
Le jour mondial des maladies rares.
Le monde de la médecine a l’opportunité de faire face à une des maladies qui jusqu’à présent a été considérée comme rare : la malformation ou syndrome d’Arnold Chiari I.
Il s’agit d’une pathologie qui présente un tableau clinique de jusqu’à 100 symptômes possibles. Etant les plus fréquents la céphalée aux efforts, les cervicalgies et les vertiges. La descente des amygdales cérébelleuses qui est, ce qu’accompagne à cette condition. Dont le traitement neurochirurgical conventionnel est la craniectomie sous-occipitale. Une chirurgie à haut risque vital pour le patient, en plus, du fort impact économique pour le système médical.
Les recherches d’un neuroscientifiques
Les recherches d’un neuroscientifique espagnol ramènent le Syndrome d’Arnold Chiari I à une pathologie plus étendue, avec une cause bien définie et un traitement : la Maladie du Filum. Cette pathologie se manifeste en forme de pathologies de la moelle épinière, du crâne et de la colonne vertébrale. Entre elles, le Syndrome d’Arnold Chiari I : la Syringomyélie et la Scoliose idiopathiques, la Platybasie, l’Impression Basilaire, la rétropulsion de l’Odontoïde, l’Angulation du tronc cérébral et, autres. Toutes partagent une même cause : la traction anormale de la moelle épinière produite par un Filum Terminale plus tendu que la normalité.
Diagnostic du traitement
Pour le diagnostic, le traitement et le contrôle de la Maladie du Filum dans toutes ses manifestations (incluant le Syndrome d’Arnold Chiari I). Un Institut de Neurochirurgie de Barcelone a conçu une méthode médicale avec l’objectif de garantir une excellente pratique médicale pour le bien-être des patients. Pour toutes ces raisons, pendant les dernières années, Barcelone est devenu le destin de centaines de patients de tous les coins du monde. Qui cherchent une solution à leurs problèmes.
L’espoir d’en finir un jour
Le Neuroscientifique et Directeur de l’Institut, Dr. Miguel B. Royo Salvador, ne cache pas l’espoir de finir un jour avec ce groupe de maladies. Et, il déclare que : « beaucoup sont les neurochirurgiens qui se rapprochent à notre Institut avec le but d’apprendre uniquement la technique chirurgicale. Mais ils deviennent choqués lorsque nous leur communiquons que ce qui est important n’est pas l’acte chirurgical même. Mais le fait de développer une habilité de détecter l’existence de la maladie à travers d’une série de symptômes et, signes pas toujours évidents pour l’œil qui n’est pas entraîné… ».
Le chercheur espagnol remercie l’effort et sensibilisation de tous les organismes de la société. Sans lesquels, la tâche des scientifiques tomberait souvent dans l’oreille du sourd. Célébrer un jour comme celui d’aujourd’hui, aide certainement à être conscients de comme nous sommes fragiles. Mais à la fois, de la force dont la société peut arriver à avoir lorsqu’elle travail main dans la main.